Il y avait cette voie ferrée qui longeait la mer, les vagues si près, si loin, juste derrière les pins...
...Et puis ce tunnel, froid, plein de courants d'air, qui abritait un escalier aux marches incertaines...
...Puis là, au débouché, le bonheur...
...Une plage cachée , presque déserte, invisible depuis la route, et nichée au creux de la baie...
...le silence seulement troublé par le cri de quelques mouettes, et par le ressac des vagues blanches...
...On pouvait commencer à rêver...
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